Incivilité rueilloise ou l’incapacité de la mairie à régler le problème de stationnement

Nous sommes tous concernés par le problème d’incivilités routières, nous avons tous été victime un jour d’une voiture mal garée qui barre la route ou pire d’une agression verbale (voire physique) d’un automobiliste qui se croit tout permis. Certains Rueillois vivent ce phénomène jusque dans leur quartier.

Ainsi, comme nous l’a rapporté ce témoin, et victime, de ce désagrément :

« * devant le bar-tabac "Le Jubilé 3" rue Gallieni, les voitures se garent quasi-systématiquement sur la piste cyclable, devant les places arrêt-minute. J'ai encore fait remarquer cela à deux automobilistes cet après-midi, les deux m'ont répondu qu'ils n'en avaient que pour une minute et ne voyaient pas où était le problème. Même la Police Nationale stationne ses véhicules de cette manière à cet endroit (je dispose de photos).

* devant l'école Robespierre, les parents s'arrêtent presque tous sur le rond-point (place du 8 mai 1945), alors qu'un stationnement (avec plein de places disponibles) existe à l'entrée de la rue Gallieni. Le soir, même chose devant le centre de loisir "l'Arsenal", au début de la rue des Bons Raisins. Dans les deux cas, la situation sur la place du 8 mai (carrefour de plusieurs axes majeurs) s'en trouve extrêmement perturbée.

* avenue de Fouilleuse, devant le centre commercial des hauts de Rueil, les couloirs de bus situés des deux côté de l'avenue sont utilisés comme stationnement, alors que là encore un stationnement gratuit existe (celui du centre commercial).

* le soir / la nuit, dans de nombreuses rues (rue de la Chapelle, rue du Lieutenant Colonel de Montbrison, avenue du Mont Valérien...), des voitures stationnent sur le trottoir, empêchant piétons, poussettes, chariots de courses, personnes à mobilité réduite, de circuler normalement. Pendant ce temps, les stationnements tels celui de la place du 8 mai 1945 (gratuits la nuit) restent désespérément vides. »

Si le problème n’a pas été résolue c’est parce que la mairie argue qu’elle n’a pas le moyen (en agent municipal) pour surveiller toutes les zones et faire cesser ces troubles. En revanche, nous constatons qu’elle a assez de moyens pour installer des caméras de vidéo-surveillance partout dans la ville. Ne serait-il pas préférable, dans ce cas, que la Police soit dans la rue plutôt que derrière les caméras ?